A single box for all my notes?
Tinderbox is a note-taking tool whose flexibility and versatility allow all adjustments, as evidenced by these three illustrations: on the first, a set of notes spread freely on the surface of my screen; on the second, an attribute browser that allows me to reread my notes by tags without having to change my tool, as if I had a card box in which I would have gathered and centralized all my notes by classifying them by means of tabs; on the third, the window of a note, with its own attributes, its color and its font. If there are many applications on Mac that are dedicated to writing, I do not know any other digital tool that can as finely transpose on a computer screen an experience as complex as that which consists in writing from as many sources such as notes, photos, press clippings, web links. One might compare Tinderbox with a table or a desk on which I would freely display a set of working documents: notes taken on cards, drawings, photocopied pages, and so on. At a time when, I am struggling to finish the writing of a thesis, I constantly have to correct a text whose elaboration seems a never-ending process, I am thus surprised to dream of a new work table, new notes, new projects, new research leads. Tinderbox is really a dream tool.
Une seule boîte pour toutes mes notes ?
Lundi 28 mai 2018
Tinderbox est un outil de prise de notes dont la souplesse et la polyvalence autorisent tous les ajustements, comme en témoignent ces trois images d’illustration : sur la première, un ensemble de notes étalées librement sur la surface de mon écran; sur la seconde, un navigateur d’attributs qui me permet de relire mes notes par étiquettes sans avoir à changer d’outil, comme si je disposais d’une boîte à fiches cartonnées dans laquelle j’aurais rassemblé et centralisé l’ensemble de mes notes en les classant au moyen d’onglets; sur la troisième, la fenêtre d’une note, avec ses propres attributs, sa couleur et sa police de caractère. S’il existe, sur Mac, de nombreuses applications tournées vers l’écriture, je ne connais aucun autre outil numérique capable de transposer aussi finement sur un ordinateur une expérience aussi complexe que celle qui consiste à écrire à partir de sources aussi multiples que des notes, des photos, des coupures de presse, des liens web. Si j’osais une comparaison, je dirais volontiers qu’il en est de Tinderbox comme d’une table ou d’un bureau sur lesquels j’étalerais librement un ensemble de documents de travail : des notes prises sur des fiches cartonnées, des dessins, des pages photocopiées, etc. À l’heure où, achevant péniblement la rédaction d’une thèse, il me faut corriger incessamment un texte dont l’élaboration paraît interminable, je me surprends ainsi à rêver d’une nouvelle table de travail, de nouvelles notes, de nouveaux projets, de nouvelles pistes de recherche. Tinderbox est vraiment un outil de rêve.